Résumé

Ce que la vie prend, elle le redonne aussi.

Amande ne pensait pas que l'on pouvait avoir si mal. En se réfugiant dans une maison isolée en Auvergne pour vivre pleinement son chagrin, elle tombe par hasard sur les calendriers horticoles de l'ancienne propriétaire des lieux. Guidée par les annotations manuscrites de Madame Hugues, Amande s'attelle à redonner vie au vieux jardin abandonné. Au fil des saisons, elle va puiser dans ce contact avec la terre la force de renaître et de s'ouvrir à des rencontres uniques. Et chaque lendemain redevient une promesse d'avenir.

Mon avis

Ayant eu un coup de cœur pour Le bleu du ciel il y a quelques mois, Les lendemains faisait partie des romans que j’avais très envie de lire. Une fois de plus, la plume de Mélissa Da Costa m’a emportée et touchée et plus profond de mon cœur.

Amande perd l’essentiel de sa vie en quelques heures. Anéantie, elle décide de quitter Lyon pour trouver refuge dans une maison isolée en Auvergne. Désormais, seuls le silence et le noir règnent dans le cœur de la jeune femme : Amande s’isole des autres et ne veut plus voir le soleil. Mais un jour, un papillon entre par une fenêtre qu’Amande n’a pas refermé à temps. Un chat apparaît de plus en plus souvent dans son jardin. La fille de l’ancienne propriétaire de la maison fait quelques apparitions. Et progressivement, une nouvelle lueur naît dans le cœur d’Amande. Elle va tenter de retrouver pied en s’accrochant à chaque petit moment de plaisir. Un long voyage commence…

« Il y avait un temps pour panser sa douleur, pour se rappeler, pour dire adieu correctement. Aujourd’hui, à peine l’enterrement passé, le quotidien doit reprendre : le travail, les factures à payer... La société n’a plus le temps pour le deuil. »

Je me suis profondément attachée à cette jeune femme qui traverse l’inimaginable. Son histoire bouleversante m’a emportée avec elle, dans cette maison auvergnate. J’ai rarement été impliquée émotionnellement dans une histoire comme ce fut le cas ici. J’avais l’impression de vivre aux côtés d’Amande, de connaître sa descente aux enfers puis, de renouer avec la vie. L’autrice transmet magistralement les émotions grâce à sa plume douce et sincère.

L’intrigue est finalement simple : on suit la descente aux enfers d’Amande et son combat pour ne pas perdre définitivement pied. Ce que j’ai particulièrement aimé, c’est que Mélissa Da Costa ne cache rien de la peine d’Amande. Rien n’est enjolivé, on a la vérité sous nos yeux. Une vérité qui nous montre qu’il faut laisser le temps au temps et s’écouter car personne ne sait mieux que nous ce dont nous avons besoin. Par ailleurs, l’autrice fait la part belle à la nature et à ses multiples pouvoirs. La nature comme reflet de notre intérieur et source de bonheur.

« Je crois qu'au fond c'est à cela qu'on mesure l'amour que l'on porte à quelqu'un... À la foule de détails insignifiants qu'on collectionne précieusement sur lui. »

Le roman nous pousse à nous interroger sur les choses qui comptent réellement dans notre vie, ça m’a énormément inspirée surtout en ce moment, où je me pose beaucoup de questions sur mes vrais souhaits. Les lendemains est donc un grand coup de cœur, je suis triste d’avoir quitté Amande et tous ses proches. Un bijou d’humanité, de résilience et d’inspiration.

Résumé

Quatre couples d'amis dans la quarantaine décident de s'octroyer des vacances sans enfants dans une villa de rêve.

Mais l'ambiance qui se voulait insouciante et idyllique ne tarde pas à se charger d'électricité. La faute aux caractères (et petites névroses) de chacun, aux modes de vie différents, à l'usure et la routine qui guettent les amoureux quand s'invite le quotidien, et à des parents qui ont oublié ce qu'était leur vie lorsqu'ils ne l'étaient pas encore... Quand débarque une jeune et jolie célibataire, le groupe est plus que jamais au bord de l'implosion.

Mon avis

J’ai découvert Laure Manel avec La mélancolie du kangourou l’année dernière. J’avais eu un immense coup de cœur pour ce dernier et, depuis, je découvre petit à petit tous ses romans. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je me suis plongée dans L’ivresse des libellules, ma quatrième lecture de Laure Manel. Si j’ai passé dans l’ensemble un bon moment, j’ai toutefois été moins emballée que pour ses autres romans. En effet, j’ai trouvé les personnages trop caricaturaux et je n’ai pas réussi à m’attacher à l’un deux.

Ces derniers se retrouvent en Ardèche, pour passer deux semaines de vacances. Ces vacances entre amis, c’est leur rituel depuis plusieurs années. Mais cette année, il y a deux nouveautés : ils partent sans leurs enfants et une nouvelle, Valentine, les rejoint en milieu de séjour. Mais l’amitié entre les quatre couples va être mise à rude épreuve, de même que l’amour entre certains amoureux… Personne ne ressortira indemne de ces vacances en Ardèche !

« Ils étaient un couple. Être avec quelqu'un, c'est doux... C'est social aussi : on existe différemment aux yeux des autres. »

L’histoire tourne donc autour de ces fameuses deux semaines de vacances de neuf personnages. Tous sont extrêmement différents les uns des autres et des tensions apparaissent assez rapidement. Entre Émilie et Vincent qui traversent une grosse crise de couple, Sybil qui veut commander tout le monde ou encore Claire et Sébastien qui exhibent constamment leur amour tout neuf, personne ne s’ennuie dans la villa. Malheureusement, j’ai trouvé les personnages trop clichés, j’aurais aimé qu’ils soient plus mesurés, pas aussi radicaux. Certains m’ont émue par moments, notamment Claire et Caroline, deux femmes à l’écoute des autres et profondément gentilles.

Finalement, cette lecture ne s’est pas révélée si reposante que ça car j’étais sans cesse sur le qui-vive : en effet, la bonne humeur du groupe ne tenait qu’à un fil tant il y avait de tensions entre les uns et les autres, je me demandais tout le temps qui allait craquer ! Laure Manel m’a beaucoup surprise de cette façon-là. Ainsi, malgré mon non-attachement aux personnages, j’avais envie de savoir ce qui allait leur arriver. Enfin, le cadre de l’histoire m’a beaucoup plu, je trouve que l’autrice met en valeur le patrimoine ardéchois, ça m’a donné envie de découvrir ce coin que je ne connais pas.

Malgré des personnages qui ne m’ont pas réellement convaincue, j’ai tout de même apprécié ma lecture grâce à une intrigue bien menée et avec du suspense ! Je continuerai à lire les romans de l’autrice malgré cette légère déception.

Résumé

Après un séjour de six mois à Londres, Agatha retrouve enfin ses chères Cotswolds - et le non moins cher James Lacey. Même si le retour au bercail de son entreprenante voisine ne donne pas l'impression d'enthousiasmer particulièrement le célibataire le plus convoité de Carsely.

Heureusement, Agatha est très vite happée par son sport favori : la résolution d'affaires criminelles. Comme le meurtre d'une certaine Jessica, qui militait pour le droit de passage de son club de randonneurs dans les propriétés privées des environs.

Les pistes ne manquent pas : plusieurs membres du club et quelques propriétaires terriens avaient peut-être de bonnes raisons de souhaiter sa disparition. Mais la piste d'un tueur se perd aussi facilement que la tête ou... la vie !

Mon avis

C’est avec beaucoup de joie que je me suis plongée dans la nouvelle aventure d’Agatha Raisin, notamment car c’est la saga qui m’a fait découvrir les cosy mystery. Avec cette dernière, je sais que je vais passer un bon moment de lecture.

Dans ce quatrième tome, on retrouve une Agatha bien heureuse d’être de retour dans les Costwolds après un séjour de plusieurs mois à Londres pour le travail. À peine arrivée, elle s’empresse d’aller à la pêche aux infos pour savoir ce qu’il s’est passé à Carsely pendant son absence. Elle découvre avec surprise qu’un groupe de randonneurs s’est créé et que son cher James en fait partie ! Ni une ni deux, elle rejoint le mouvement, voyant là l’occasion de se rapprocher de son voisin et de perdre ses éternels kilos en trop. Mais peu de temps après son arrivée dans le groupe, Jessica, une randonneuse, est retrouvée morte. La tante de la défunte demande à Agatha de découvrir qui est à l’origine du meurtre…

« Personne ne disait plus « misérable » de nos jours. Mais « défavorisé », ou quelque chose de ce genre, comme si changer de mot pouvait effacer la tristesse, la violence et le désespoir. »

Les six mois d’Agatha dans la capitale anglaise ne l’ont pas changée, bien au contraire ! On la retrouve plus curieuse et déterminée que jamais. Comme d’habitude, j’ai aimé son franc-parler : elle se met dans des situations extrêmement cocasses tant sa franchise est sans limite ! Ce que j’ai bien aimé dans ce tome, c’est que toute l’histoire n’est pas racontée uniquement du point de vue d’Agatha. Ça permet de faire plus ample connaissance avec d’autres personnages mais aussi d’éviter de se lasser de l’héroïne, que l’on commence à bien connaitre.

En ce qui concerne l’enquête, comme pour les tomes précédents, elle n’est pas exceptionnelle (bien que je n’aie pas deviné l’identité du coupable). Mais ça se lit bien et ça détend. De plus, la vie d’Agatha connaît un gros chamboulement à la fin du tome, j’ai hâte de lire la suite pour voir comment ça va se concrétiser !

Voilà bien longtemps que je n’ai pas fait de TAG… Plus d’un an ! Étant donné que ma PAL s’est bien remplie ces derniers mois, je me suis dit que ça pourrait être sympa de faire un TAG sur ma PAL. J’ai regardé sur les blogs des copines et je suis tombée sur le TAL « Dans ma pile à lire… » de Pauline. Il m’a bien plu donc ni une ni deux, je le reprends à mon tour !

DANS MA PAL, IL Y A...

Celui qui te fait le plus envie

Sans hésiter : Les Possibles de Virginie Grimaldi. Je dévore tous ses romans, c’est l’une de mes autrices préférées !

Celui qui est là que pour sa couverture

Sans hésitation : Le soleil est pour toi de Jandy Nelson. La couverture est simple mais colorée, joyeuse, je suis fan.

Celui qui est là depuis trop longtemps

Je dirais Muchachas de Katherine Pancol. C’est d’ailleurs pour ça que je l’ai sélectionné dans ma PAL d’automne, j’espère le lire bientôt.

Celui qui te fait le moins envie

La liste de mes envies de Grégoire Delacourt. Lui aussi est dans ma PAL depuis un moment et je n’arrive pas à l’en sortir. Un jour peut-être !

Celui qui vient juste d’arriver

Le dernier est Viens, on s’aime de Morgane Moncomble. J’avais adoré Aime-moi je te fuis donc j’ai hâte de le lire, j’espère l’aimer autant.

Celui qui est là parce que tout le monde en parle

J’en ai plusieurs mais celui qui est là entièrement grâce à Bookstagram, c’est Rendez-vous avec le crime de Julia Chapman. Un cosy mystery qui n’a que des bons avis, je suis pressée de me faire le mien.

Celui qui ne va pas faire long feu 

C’est de nouveau un cosy mystery : Meurtres et charlottes aux fraises de Joanne Fluke. J’avais adoré le premier tome donc j’ai beaucoup d’attentes !

Celui qui n’y est pas encore, mais c’est pour bientôt

Plusieurs romans me font très envie, mais je pense que c’est Le bal des folles de Victoria Mas qui rejoindra rapidement ma PAL. Il a l’air génial !

Celui qui est là alors que ce n’est pas ton style habituel

Je dirais Suis-je hypersensible ? Enquête sur un pouvoir méconnu de Fabrice Midal. Un livre plutôt développement personnel, chose que je ne lis jamais.

J’espère que ce TAG vous aura plu, n’hésitez pas à me dire si vous avez lu certains des romans dont je parle, ça pourra me motiver à les sortir encore plus vite de ma PAL ! À très vite pour un prochain article 😊

Résumé

Bretagne. Jo prévoit de profiter d’une joyeuse retraite sur l’île de Groix. Mais la deuxième vie qu’il imaginait au côté de sa bien-aimée, il devra l’inventer seul. Son épouse est partie avant lui, en lui lançant un ultime défi : celui d’insuffler le bonheur dans le cœur de leurs enfants. Il n’a d’autre choix que d’honorer Lou, sa mémoire et ses vœux. Entre un fils sur la défensive et une fille cabossée par l’amour, la mission s’avère difficile mais réserve son lot d’heureuses surprises – car il n’est jamais trop tard pour renouer. En famille, on rit, on pleure, on s’engueule et, surtout, on s’aime !

Mon avis

Mon envie de découvrir de nouvelles plumes n’a pas de fin et cette fois-ci, je me suis intéressée à Lorraine Fouchet et plus particulièrement à son roman Entre ciel et Lou, dont j’avais entendu du bien de la part de plusieurs personnes. Comme ces dernières, j’ai été conquise par l’histoire et ses personnes fort attachants.

Jo se retrouve complètement perdu au décès de Lou, l’amour de sa vie. Mais celle-ci lui a laissé un dernier défi à relever : faire que leurs enfants, Cyrian et Sarah, soient heureux. Pas facile à réaliser surtout lorsque l’un des deux enfants en question entretient une relation tumultueuse avec son père et que l’autre ne croit plus en l’amour ! Mais Jo va s’accrocher coûte que coûte, bien décidé à maintenant toute la famille à flots malgré l’absence de Lou.

« On ne sait pas de quoi on meurt, mais on peut décider comment on vit. »

Ce roman a la particularité d’avoir de nombreux narrateurs : Jo, Lou, Cyrian, Sarah, Pomme, Charlotte… Tous les personnages deviennent à un moment ou un autre narrateur et c’est plaisant à découvrir : en effet, ça permet au lecteur d’accéder aux pensées du personnage qui narre et de mieux le connaître. Je me suis particulièrement attachée à la jeune Pomme, la première fille de Cyrian. C’est une enfant vive, indépendante et d’une empathie exceptionnelle. Sa sœur Charlotte m’a également touchée malgré son comportement loin d’être sympathique au départ. Mais on comprend vite que c’est une enfant en souffrance. Leur père, Cyrian, m’a moins plu. Il joue sur deux tableaux sur différents points et il m’a donné l’impression d’être un homme auquel on ne peut pas faire confiance.

J’ai aimé suivre l’évolution des relations entre les personnages : la famille qu’ils forment à la fin n’a rien à voir avec celle du départ ! C’est une famille imparfaite mais criante de vérité. C’était agréable de suivre leur parcours, qui pousse le lecteur à se questionner sur lui-même et sur ses relations familiales. De plus, c’est d’autant plus chouette de suivre cette famille grâce au cadre dans lequel ils vivent. Lorraine Fouchet fait la part aux descriptions de l’île de Groix, le roman m’a donné envie de découvrir ce petit coin breton !

« Je connais le nombre à deux chiffres de nos années passées ensemble. Je sais le nombre à mille chiffres de nos éclats de rire. »

Entre ciel et Lou est donc une belle lecture, qui met en avant la famille et son importance. Malgré quelques passages parfois un peu longs, j’ai passé un bon moment en compagnie de cette ribambelle de personnages, tous différents les uns des autres. Je lirai avec plaisir un autre roman de l’autrice.

Résumé 

Au Meilleur Ami de l'Homme : un hôtel insolite où devant chaque chambre vous attend un petit chien abandonné que vous pourrez adopter ou non en partant.

Voyag'Elles : un guide touristique "spécial femmes" que Roxane a créé avec son amie Sam, et auquel elle a adjoint un blog irrésistible où elle raconte ses péripéties dans tous les coins de France.

Roxane : en dehors de son blog, une boule de souffrance rongée de culpabilité et de haine envers le responsable de son malheur.

Mais dans l'hôtel où Roxane a décidé de poser ses valises, pour Voyag'Elles, il y a des personnes sages qui, malgré les cruautés du destin, se consolent grâce aux petits bonheurs de la vie... et y trouvent la force d'affronter le lendemain.

Quand le pardon de l'autre passe d'abord par le pardon de soi.

Mon avis

Après en avoir entendu beaucoup de bien depuis un moment, je souhaitais découvrir la plume de Carène Ponte. C’est vers Et ton cœur qui bat que je me suis tournée, charmée par l’idée de l’hôtel Au Meilleur Ami de l’Homme, dans lequel le voyageur peut adopter les chiens qui y vivent.

Dans ce roman, nous rencontrons Roxane, qui pose ses valises Au Meilleur Ami de l’Homme, en Camargue. Avec sa meilleure amie Sam, elles ont créé leur guide de voyage et Roxane est la voyageuse du duo, celle qui découvre les destinations et qui raconte ses aventures sur le blog associé au guide. Mais si son job semble parfait sur le papier, il est surtout un moyen d’évasion pour elle depuis le drame qu’elle a vécu quelques mois plus tôt. Dans cet hôtel hors du commun, Roxane va rencontrer une farandole de personnages qui vont l’aider à avancer et à vivre avec la douleur qui lui ronge son énergie et son bonheur.

« Il parait qu'avec le temps la douleur s'atténue. Foutaises ! Il n'y a qu'une personne qui n'a jamais vécu le pire pour sortir une énormité pareille. La douleur ne s'atténue pas, elle est comme une bête enfouie qui ressurgit à la moindre occasion, prête à vous faire exploser le cœur. »

Roxane est une jeune femme à laquelle je me suis attachée dès les premières lignes. Malgré son côté « clown » qu’elle laisse transparaître sur ses billets de blog, elle cache une grande douleur. Lorsqu’on découvre ce qui a bouleversé sa vie, on ne peut qu’être ému et admiratif de son parcours. Les autres personnages ne sont pas en reste. Gwenole, Albane, Frédéric… Ils sont construits tout en finesse, chacun avec leurs blessures, leurs défauts mais surtout, chacun avec une grande dose d’humanité. Je les ai tous aimés et j’avais le cœur lourd de leur dire au revoir lorsque j’ai terminé ma lecture.

« On ne s'immunise pas contre la vie. On vit. »

Que dire de la plume de Carène Ponte si ce n’est qu’elle m’a émue au plus haut point ? J’ai adoré la façon dont elle raconte la vie de ses personnages. Ils passent tous par de grands moments de joie mais aussi, par des moments de grande souffrance. À travers eux, l’autrice raconte la vie, sans fioritures, dans tout ce qu’elle a de plus vrai, de plus beau, de plus dur. Je suis passée du rire aux larmes tant Carène Ponte transmet à merveilles les émotions.

L’histoire de Roxane m’a touchée au plus profond de moi et suivre son cheminement vers le pardon m’a fait beaucoup réfléchir. Dans ce roman, l’autrice fait la part belle à la culpabilité et au pardon : comment se pardonner ? Comment pardonner aux autres ? Des questions qui font sens et qui nous évoquent à tous certains moments de nos vies.

Vous l’aurez compris, Et ton cœur qui bat est un roman qui ne m’a pas laissée indifférente. C’est une magnifique histoire de vie avec des personnages inspirants et attachants. Un sacré coup de cœur qui me donne envie de dévorer tous les autres romans de l’autrice.

Hello !

On se retrouve pour le bilan du mois ! C’est parti pour vous présenter mes lectures d’octobre.

Les livres lus en octobre

En octobre, j’ai lu 6 romans. C’est bien, mais j’aurais aimé en lire un de plus. J’ai eu beaucoup de travail sur la fin du mois et peu de temps pour lire.

1) J’ai retrouvé une autrice que j’aime beaucoup au début du mois : Tatiana de Rosnay avec son roman Le voisin. L’histoire m’a complètement retourné le cerveau, je n’arrivais plus à démêler le vrai du faux, c’était super étrange comme sensation de lecture. En tout cas, j’ai adoré !

2) Là encore, j’ai lu un roman d’une autrice qui fait partie de mes « classiques » puisque j’ai lu Nos cœurs à l’horizon de Jojo Moyes. Malheureusement, le charme n’a pas vraiment opéré cette fois-ci. J’ai trouvé l’histoire très longue et les personnages pas attachants. Je vous en reparle plus en détails rapidement.

3) Ça faisait un moment que je voulais découvrir la plume de Lorraine Fouchet et ça a été chose faite en octobre puisque j’ai lu Entre ciel et Lou. Contrairement à ma lecture précédente, je me suis attachée aux personnages et j’ai apprécié suivre le quotidien de la famille de Lou, qui tente de se reconstruire après sa disparition.

4) J’ai poursuivi le mois avec Frangines d’Adèle Bréau. J’ai trouvé cette lecture assez semblable à celle que je venais de terminer. En effet, là encore, on suit le quotidien d’une famille où chaque membre a des secrets. J’ai bien aimé le trio de sœurs et l’histoire en général. Mais je pense que je l’aurais encore plus appréciée si je ne l’avais pas découverte juste après une autre histoire de famille.

5) Puis, après mon immense coup de cœur pour Ainsi gèlent les bulles de savon en septembre, j’ai voulu lire de nouveau un roman de Marie Vareille. J’ai ainsi lu Là où tu iras j’irai. Ce ne fut pas un coup de cœur mais tout de même une excellente lecture, j’ai beaucoup ri !

6) Enfin, j’ai terminé le mois avec un auteur que je voulais découvrir depuis trèèès longtemps : Franck Thilliez ! J’ai lu Il était deux fois et j’ai adoré, j’avais beaucoup de mal à lâcher le livre tant j’étais prise dans l’histoire et impatiente de connaître la vérité. Je lirai pour sûr d’autres romans de cet auteur !

Les livres qui ont rejoint ma PAL

Et sinon...

Comme je le disais au début de cet article, j’ai eu beaucoup de travail en octobre. J’avais du mal à me reposer le week-end et les dossiers ne me quittaient jamais vraiment. Ça ira mieux à la fin novembre, encore un mois intense à vivre ! Mais avec mon copain, nous avons organisé un gros voyage pour janvier, y penser aide à tenir ! Et à la mi-novembre, nous faisons le pont et partons à Venise pour un long week-end, ça fera une agréable petite coupure. Je ne suis pas partie en vadrouille en octobre, j’ai d’autant plus hâte. Je vous souhaite un excellent mois de novembre à tous !