Résumé

En acceptant le poste de secrétaire de la toute nouvelle rédac' chef de Cosmopolitan, Alice n'imaginait pas qu'elle allait faire la rencontre de sa vie. Petite provinciale de vingt et un ans tout juste débarquée de son Ohio natal, elle se retrouve ainsi face à une figure du New York des sixties : Helen Gurley Brown, auteure du sulfureux best-seller Sex and the Single Girl.

Mais cette grande visionnaire n'a pas que des amis dans la presse et elle se trouve en réalité sur un siège éjectable. Alice ne va pas tarder à découvrir que sa rebelle patronne fait l'objet d'une cabale acharnée, menée par ses collègues masculins bien décidés à démontrer que la place d'une femme est davantage dans la cuisine qu'à la tête d'un magazine.

Parler à une nouvelle génération de femmes, débarrasser la presse de ses vieilles figures patriarcales est un défi de taille. Fascinée par Helen, Alice est prête à tout pour l'aider à inventer une « Cosmo Girl » fière, sûre d'elle, libérée de tout carcan puritain. Qu'importent les coups bas. Et les coups au cœur...

Mon avis

Je me suis retrouvée à lire Park Avenue Summer complètement par hasard : le roman faisait partie des livres que je pouvais prendre chez moi dans mon ancien travail, je m’étais laissée tenter par son résumé. C’est un an après son arrivée dans ma PAL que je me suis décidée à le lire. Et j’ai très bien fait car j’ai passé un chouette moment de lecture.

Alice décide de tenter sa chance en tant que photographe à New-York dans les années 60. Mais le milieu est difficile d’accès, encore plus quand on est une femme. En attendant de réaliser son rêve, Alice est embauchée à la rédaction du célèbre Cosmopolitan et devient l’assistante d’Helen, à la tête du magazine. Mais la pression sur les épaules d’Helen est immense, le groupe possédant le magazine ayant parié sur son échec. Alice va tant bien que mal soutenir sa patronne et participer à la création de la « Cosmo girl ».

Helen et Alice forment un duo de choc ! Ce sont deux femmes inspirantes à leur façon. Helen possède une énergie folle et un courage sans limite. Malgré les bâtons dans les roues et les coups bas des patrons, elle ne lâche jamais son objectif : révolutionner le Cosmopolitan actuel, un magazine vieillot fait par des hommes et qui ne séduit plus les femmes. Je l’ai sincèrement admirée, surtout lorsque j’ai découvert que cette femme a vraiment existé. Alice n’est pas en reste, c’était chouette de la voir découvrir la vie new-yorkaise et prendre des risques pour épauler Helen.

J’ai beaucoup aimé le contexte, celui des années 60 à New-York. Je trouve que l’autrice a réussi à capter l’ambiance de la ville, à la fois frénétique, sulfureuse mais encore très patriarcale. C’est un roman qui laisse la parole aux femmes, qui les met en avant et ça fait du bien de lire des romans avec des héroïnes si inspirantes. Le seul petit bémol, ce serait juste la longueur de certains passages. Par moments, l’intrigue perd en dynamisme, ça me perdait un peu. Mais heureusement, ça n’est pas arrivé souvent !

Rien ne me prédestinait à la lecture de Park Avenue Summer et pourtant, je suis bien contente d’avoir croisé son chemin par hasard et de m’être laissée tenter. Parfois, les belles lectures sont celles auxquelles on ne s’attend pas !

Résumé

Isabelle a 32 ans, un chihuahua nain prénommé Woody-Allen et une carrière d’actrice comparable à celle du Titanic : prometteuse en théorie, catastrophique en pratique.

Le jour où elle refuse la demande en mariage de l’homme qu’elle aime, sous prétexte qu’elle ne veut pas d’enfant, elle se retrouve à la rue, avec pour toute fortune vingt-quatre euros sur son compte en banque. Elle est alors forcée d’accepter le seul travail qu’on lui propose : utiliser ses talents de comédienne pour séduire Jan Kozlowski, un jeune veuf sur le point de se remarier.

La voilà donc partie en Italie, dans la maison de vacances de la richissime et déjantée famille Kozlowski. Seule ombre aux deux semaines de dolce vita qui se profilent : pour exécuter en toute discrétion sa mission "séduction", Isabelle devra jouer le rôle de l’irréprochable nanny anglaise de Nicolas, 8 ans, qui n’a pas prononcé un seul mot depuis la mort de sa mère cinq ans plus tôt. Isabelle est bien loin d’imaginer à quel point cette rencontre improbable avec ce petit garçon blessé par la vie va bouleverser sa vision du monde.

Mon avis

Après avoir adoré Le syndrome du spaghetti et eu un coup de cœur pour Ainsi gèlent les bulles de savon, j’avais très envie de découvrir les premières œuvres de Marie Vareille. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que je me suis plongée dans Là où tu iras j’irai (le lien avec la célèbre chanson de Céline Dion n’est pas fortuit !).

La carrière d’actrice d’Isabelle, 32 ans, est plus que chaotique : après un rôle important lorsqu’elle était ado, Isabelle n’a jamais réussi à en obtenir un autre. Lorsqu’elle se sépare de son petit-ami Quentin, elle se retrouve à la rue et est obligée d’accepter un drôle de travail : Adriana, une jeune fille de 16 ans, lui propose de se faire engager en tant que nounou de son petit-frère, afin de séduire son père et d’empêcher son mariage avec sa nouvelle compagne. Évidemment, une coquette somme d’argent est à la clé pour Isabelle. Celle-ci doit déployer tous ses talents de comédienne pour mener à bien sa mission et empocher l’argent promis par Adriana.

« On n'a jamais le bon âge, de toute façon. On passe son enfance à trouver qu'on est trop jeune et le reste de sa vie à penser qu'on est trop vieux. »

Isabelle est une femme qui m’a beaucoup amusée. À la fois drôle et un peu maladroite, elle devient tout de même une formidable nounou pour le petit Nicolas. Le lien qui se créé entre eux est touchant, on comprend très vite qu’ils se sont trouvés, qu’ils se comprennent sans même se parler. J’ai aimé le côté idéaliste d’Isabelle, il lui confère une forme d’innocence et qui la rend surtout très attachante. Je l’ai trouvée très patiente avec la famille Kozlowski, faut supporter la mamie Italienne, les deux sœurs qui se haïssent et le père jamais là ! Heureusement, elle peut compter sur ses meilleurs amis, toujours là pour la réconforter.

L’intrigue est sympathique et nous fait voyager en Italie. J’ai vraiment lu ce roman comme une bouffé d’air frais, qui fait rire et qui détend par ses excellents personnages et par les situations rocambolesques. Mention spéciale à la course poursuite en Vespa jusqu’à l’aéroport, je pense m’en souvenir longtemps ! Mais derrière l’humour, la jolie plume de Marie Vareille aborde des sujets difficiles et même douloureux.

Un chouette roman, rempli d’optimisme et d’humour, qui sent bon les vacances et l’Italie. Il est idéal pour une lecture sans prises de tête mais tout de même touchante.

Bonjour à tous !

C’est le printemps aujourd’hui, c’est donc le moment de vous présenter ma PAL de printemps, ainsi que de faire le bilan sur celle d’hiver.

Bilan PAL d’hiver

Sur les 8 sélectionnés, j’en ai lu 5 :

- Grandir un peu de Julien Rampin

- Je revenais des autres de Mélissa Da Costa

- Le cupcake café sous la neige de Jenny Colgan

- Ce qui ne tue pas de Rachel Abbott

- Le Livre des Baltimore de Joël Dicker

Ma PAL de printemps

Vous commencez à me connaître, on part sur une sélection hétéroclite ! Du feel-good, du thriller, du cosy mystery… Bref, de belles lectures en perspective ! Avez-vous lu certains de ces romans ? À bientôt !

Résumé

Depuis sa plus tendre enfance, Izzy a toujours raffolé des fêtes de Noël, quand Londres scintille de guirlandes colorées et que flotte dans l’air un doux parfum de gingembre et de cannelle… Mais cette année, le Cupcake Café ne lui laisse guère le temps de flâner dans les rues enneigées. À l’approche des fêtes, les commandes se multiplient !

C’est alors qu’Austin, son amoureux, lui apprend qu’il a décroché un poste à New York et part étudier cette proposition en or. Izzy voit son univers douillet et gourmand se fissurer. Comment ignorer les milliers de kilomètres qui la séparent désormais de l’homme qu’elle aime ? Doit-elle renoncer au Cupcake Café qui est toute sa vie et sauter dans un avion ? Ou au contraire rester à Londres et tenter d’oublier Austin ? Une chose est sûre : armée de sa bonne humeur et de sa poche à douille, Izzy est prête à tout pour que la magie de Noël opère encore cette année !

Mon avis

C’est avec Rendez-vous au Cupcake Café que j’ai découvert la plume de Jenny Colgan alors j’étais impatiente de retrouver Izzy, son Cupcake Café et tous les autres personnages, qui rendent l’histoire si touchante.

Tout va pour le mieux pour Izzy ! Son Cupcake Café est un succès et elle est heureuse avec Austin. C’est donc avec beaucoup de joie qu’elle se lance dans les préparatifs de Noël. Mais tout est remis en question lorsqu’Austin s’envole pour New-York et qu’on lui propose un super poste. Izzy et Austin commencent alors une relation très longue distance mais ils comprennent vite que ça ne va pas fonctionner et se retrouvent dans une impasse : l’amour ou le travail ?

« C’est le problème avec le bonheur. C’est toujours après coup qu’on se rend compte qu’on l’avait. »

J’ai adoré retrouver Izzy, c’est une héroïne que j’apprécie beaucoup pour sa gentillesse et sa grande volonté. Cette dernière va lui faire un peu défaut dans cette suite car elle n’arrive pas à trouver une solution pour sauver son couple. Mais en même temps, je pense qu’à sa place, on se serait tous posé les mêmes questions. Austin m’a un peu déçue, je l’ai trouvé peu combattif pour trouver une solution. C’est un peu facile d’imaginer qu’Izzy va tout quitter à Londres, alors qu’elle s’est tant donnée pour créer son Cupcake Café.

L’intrigue est simple mais tellement agréable. Comme dans le tome précédent, j’ai adoré l’univers du Cupcake Café : les habitués qui soutiennent les projets d’Izzy, les gâteaux colorés qu’on imagine sans difficulté et qu’on aimerait manger, les décorations installées pour Noël qui renforcent l’atmosphère chaleureuse du lieu… Bref, c’est un endroit dans lequel je rêve d’aller et que j’ai apprécié retrouver. De plus, le fait que l’intrigue se déroule à la période de Noël ajoute de la magie, on imagine sans mal Londres et New-York à l’heure de Noël, ça donne des envies de voyage !

Lire du Jenny Colgan, c’est s’assurer un joli moment de lecture, une pause cocooning dans sa journée, grâce à une intrigue agréable, une atmosphère chaleureuse et des personnages attachants. Je suis heureuse d’avoir lu les deux tomes du Cupcake Café et j’ai hâte de retrouver la plume de l’autrice.

Résumé

Jusqu'au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l'auteur de La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey. Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d'une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne. Huit ans après le Drame, c'est l'histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu'en février 2012, il quitte l'hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s'atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu'il éprouva jadis pour cette famille de l'Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s'effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu'au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu'est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?

Mon avis

Après avoir adoré La Vérité sur l’affaire Harry Québert l’année dernière, j’étais impatiente de lire un autre roman de Joël Dicker. C’est vers Le Livre des Baltimore que je me suis tournée puisqu’on retrouve Marcus Goldman, le héros de La Vérité sur l’affaire Harry Québert.

Marcus se lance dans l’écriture d’un nouveau roman : Le Livre des Baltimore, qui raconte l’histoire de sa famille et notamment celle des Goldman-de-Baltimore, c’est-à-dire la vie de ses cousins Hillel et Woody, de son oncle Saul et de sa tante Anita. Pour écrire ce livre, il revient sur les pas de son adolescence et retrouve par hasard Alexandra, son grand amour de jeunesse. Passé et présent se mêlent pour découvrir ce qu’il est arrivé aux Goldman-de-Baltimore, cette famille adulée par Marcus.

Pendant de longues années, Marcus a formé le Gang de Goldman avec ses cousins. Un puissant lien unissait le trio, c’était très touchant à lire. On sent que les garçons s’aiment profondément et sont prêts à tout les uns pour les autres. Ce sont les Goldman avant tout. Mais le Drame fait éclater cette union qu’on pensait indestructible. Quel est ce Drame ? Que s’est-il passé ? Durant 500 pages, l’auteur nous fait languir pour découvrir la réalité sur ce Drame, évoqué dès les premières pages. Forcément, ça créé un suspense insoutenable : j’avais du mal à lâcher le roman tant je souhaitais découvrir ce qu’il s’est passé chez les Goldman. Au fil des pages, on ébauche toutes sortes d’hypothèses, on découvre des secrets bien gardés, des rivalités qu’on ne soupçonnait pas. Bref, pendant 500 pages, on est plongé au cœur de la famille Goldman au point qu’on a presque l’impression d’en faire partie tant on les connaît.

Et c’est là l’un des pouvoirs de Joël Dicker : nous offrir des personnages profondément construits, complexes à comprendre et qui nous surprennent. Avec eux, nous découvrons ce qu’est l’ascension, la réussite professionnelle et sociale, mais aussi la rivalité au sein d’une famille, les mensonges et la chute. Malgré leurs défauts (voir leurs vices !), je me suis attachée à tous ces personnages, je me suis inquiétée avec eux, j’ai pleuré avec eux, j’ai souri avec eux. Comme je le disais, j’avais l’impression d’être moi aussi une Goldman, la Goldman-de-Paris.

Le Livre des Baltimore, c’est un roman qu’on ne lâche pas tant il est addictif. C’est extrêmement rare que je sois à ce point à fond dans une histoire et je remercie sincèrement l’auteur pour cela. C’est pour ce type de pépite que je suis passionnée de lecture, pour ces histoires qui m’emmènent à mille lieues de mes soucis et qui ne quittent pas mon esprit jusqu’à temps que j’en découvre le fin mot. Un gros coup de cœur pour moi, j’ai déjà hâte de retrouver la plume et le talent de Joël Dicker et notamment de découvrir son prochain roman qui sort dans quelques jours, L’Affaire Alaska Sanders, où nous retrouvons une fois encore ce cher Marcus Goldman.

Résumé

Evie Flynn a toujours été le mouton noir de sa famille si parfaite : une rêveuse, vagabonde dans l'âme, contrairement à ses sœurs aînées. Elle s'est d'abord rêvée actrice, puis photographe et chanteuse, mais sans grand succès. Lassée de ces échecs, elle s'est construit une vie raisonnable : entre un travail qu'elle déteste et un fiancé très terre à terre (pour ne pas dire ennuyeux), elle regarde sa vie défiler sous ses yeux. Mais quand sa tante préférée décède dans un accident de voiture, lui léguant le petit café qu'elle tient sur le port de Carrawen Bay, Evie n'hésite pas longtemps avant de tout plaquer pour vivre pleinement cette aventure…

Mon avis

Le résumé de Rendez-vous au café du bonheur m’a emballée : c’est typiquement le genre de roman que j’aime lire ! Et comme j’avais aimé la plume de Lucy Diamond dans Le doux parfum de la vérité, je n’ai pas hésité longtemps avant de me plonger dans l’histoire d’Evie.

Evie mène une vie bien rangée mais pas très épanouissante. Elle enchaîne les petits boulots pas passionnants, sa relation amoureuse par à vau-l’eau et elle souffre en silence que tout le monde veuille l’obliger à rentrer dans le moule. Mais tout cela se termine lorsqu’Evie se retrouve propriétaire d’un petit café dans les Cornouailles, que sa tante Jo lui a légué. Malgré la peur d’échouer, Evie décide de suivre son instinct et reprend la gestion du Café de la plage.

« Le monde est quand même plus agréable quand on est amoureux. »

Evie est une héroïne extrêmement attachante et à laquelle je me suis identifiée. Elle manque cruellement de confiance en elle et fait tout pour correspondre aux attentes de ses proches, quitte à s’oublier. Il faut dire qu’elle est entourée par des gens vraiment pas sympas, la palme d’or revenant à son abruti de petit-ami, franchement condescendant et parfois méchant. Le décès de Jo est finalement comme un électrochoc pour Evie, notamment en découvrant la confiance que sa tante plaçait en elle en lui léguant son café. C’était magique de voir notre héroïne se découvrir un objectif de vie : elle se donne à fond dans la restauration du café, elle fait la rencontre de nouvelles personnes et n’hésite plus à se faire entendre pour qu’on respecte enfin ses choix.

« Au fond de moi, je crois que je suis une fille de la plage. »

L’aventure est évidemment semé d’embûches mais Evie ne lâche jamais, c’est un bel exemple de motivation, qui nous pousse à nous donner les moyens pour réaliser nos rêves. L’intrigue m’a énormément plu, notamment pour son réalisme. Evie n’abandonne pas sa vie du jour au lendemain, elle se pose des tonnes de questions, fait des essais, se trompe, hésite, puis repart de plus belle. Je trouve que ça illustre bien ce que peuvent ressentir les personnes en pleine reconversion. Enfin, que dire du cadre, si enchanteur ? L’ambiance sur cette côté sauvage est douce et enivrante et le café d’Evie fait rêver, avec ses pâtisseries alléchantes et ses clients sympathiques.

« Les Cornouailles m'appelaient et pour la première fois depuis une éternité, j'avais un rêve. »

Rendez-vous au café du bonheur est donc une excellente lecture et pour être honnête, je ne m’attendais pas à l’apprécier autant ! C’est un petit bonbon qui se savoure, qui donne des envies des voyage et surtout, une folle envie de tout plaquer pour réaliser ses rêves. Une suite existe, cela va sans dire que je la lirai avec plaisir ! Je me la garde pour Noël prochain, j’ai hâte de découvrir Le Café de la plage à l’heure d’hier !

Bonjour tout le monde !

Je suis ravie de vous retrouver aujourd’hui pour vous présenter mon bilan lecture du mois de février.

Les livres lus en février

Je suis très contente de mon bilan lecture car j’ai lu 9 livres malgré le fait que février soit un petit mois. Je vous en parle plus en détails !

1) J’ai débuté le mois avec un roman que j’avais très envie de découvrir : Le voyage de Cilka d’Heather Morris. Après avoir adoré Le Tatoueur d’Auschwitz il y a quelques mois, j’avais hâte de lire ce roman, centré sur Cilka, avec laquelle on fait connaissance dans le roman précédent. Sans surprise, j’ai adoré ma lecture.

2) Ma deuxième lecture du mois fut mitigée : j’ai lu La petite librairie des cœurs brisés d’Annie Darling. C’est le roman qui avait été choisi dans mon club de lecture Les Parisiennes bouquinent. L’intrigue m’a plu mais j’ai trouvé les personnages et situations beaucoup trop clichés. J’ai souvent levé les yeux au ciel.

3) Ensuite, une fois n’est pas coutume, j’ai lu un roman numérique car je fais partie des Ambassadrices Kobo Original. Je me suis plongée dans Service Après-mort tome 1 d’Angélique Kateb. Malheureusement, ce roman ne m’a pas convaincue, je vous en dis plus dans ma chronique.

4) J’ai poursuivi le mois avec un roman qui fait partie de la sélection du Prix des Lecteurs U 2022 : Grandir un peu de Julien Rampin, qui sortira bientôt chez Le Livre de Poche. J’ai passé un joli moment de lecture avec ce court roman, les trois personnages principaux sont profondément attachants et l’histoire fait passer de beaux messages.

5) Puis, j’ai continué une saga dont vous avez entendu parler si vous me suivez régulièrement. En effet, j’ai lu le tome 6 d’Agatha Raisin. J’avais peur de complètement me lasser vu ma déception pour le tome 5. Mais le fait que l’histoire se déroule ailleurs (à Chypre) et qu’on rencontre de nouveaux personnages a donné un regain d’énergie à la saga.

6) Ma sixième lecture du mois fut un coup de cœur : Le Livre des Baltimore de Joël Dicker. J’ai tout aimé du début à la fin. Il y a un suspense insoutenable qui m’empêchait de reposer le livre trop longtemps. Vous en saurez plus sur mon avis dans quelques jours !

7) Après ce sacré roman, j’avais besoin d’un peu de douceur. Quoi de mieux qu’un Jenny Colgan pour cela ? J’ai lu Le Cupcake Café sous la neige, la suite de Rendez-vous au Cupcake Café. J’ai adoré retrouver Izzy, Austin et le Cupcake Café. Dans ce deuxième tome, on voyage de Londres à New-York à l’heure de Noël.

8) J’ai de nouveau lu un roman de la sélection du Prix des Lecteurs U 2022 : Ce qu’il faut de nuit de Laurent Petitmangin. Je n’ai malheureusement pas été convaincue, ni par l’histoire, ni par la plume de l’auteur.

9) J’ai terminé le mois avec La première fois, c’était quand même plus marrant de Colleen Oakley. Je ne m’attendais pas à une tellement histoire en l’empruntant à la médiathèque ! Daisy est un personnage qui m’a beaucoup touchée.

Les livres qui ont rejoint ma PAL

Et sinon...

Février a été un mois rythmé par la lecture et la recherche d’appartements ! En effet, en rentrant de vacances fin janvier, on a pris la décision avec mon copain de déménager. Aussitôt dit, aussitôt fait : j’ai passé beaucoup de temps à écumer les sites d’annonce. On a trouvé notre perle, un appartement refait à neuf, dans notre budget, dans un quartier de Paris très sympa ! On y emménage mi-mars. Il y a des chances pour que mon rythme de lecture soit moins soutenu en mars car je vais passer pas mal de temps dans les cartons. À suivre ! Février a également été l’occasion de rencontrer Pauline en vrai, après presque 8 ans à se suivre sur nos blogs et réseaux ! Elle était de passage à Paris et nous avons profité de l’occasion pour prendre un bon goûter et se balader. Vivement la prochaine fois ! Niveau rencontre, j’ai également participé à la rencontre de mon book club Les Parisiennes bouquinent en début du mois. Nous nous sommes retrouvées au café-librairie La Mouette rieuse dans le Marais. C’était chouette de se voir en vrai et d’échanger sur notre lecture commune et plein d’autres sujets. On se revoit en avril ! Février a donc été un chouette mois, j’ai hâte de voir ce que mars donnera. Bon mois à tous !