Lou ! Tome 1 : Journal intime

Lou ! est la BD par excellence que de nombreuses filles de ma génération ont lu lorsqu’on était ados. Personnellement, je n’étais pas du tout BD et je suis donc passée à côté du phénomène Lou !. C’est finalement à 23 ans que j’ai découvert les aventures de l’héroïne : voir les nombreux commentaires élogieux sur le dernier tome, Lou Sonata, m’a donné envie à mon tour de plonger dans cette BD.

Je suis bien contente de ce choix car je suis tombée sous le charme de cette jeune ado de 12 ans. Elle est drôlement sympathique et mature pour son âge. On suit son quotidien, où elle est entourée de sa maman fan de jeux-vidéos, de sa meilleure amie Mina et de son amoureux Tristan. D’autres personnages font leur apparition çà et là, comme la mamie sévère et Richard le nouveau voisin.

Malgré des scènes amusantes, Julien Neel aborde des thèmes profonds. Les dessins sont doux et délicats, j’ai adoré les tons pastels. Un super premier tome, qui nous donne envie de faire plus ample connaissance avec Lou et ses proches !

Lou ! Tome 2 : Mortebouse

L’intrigue de ce deuxième tome se déroule lors des grandes vacances d’été : Lou et sa maman partent à Mortebouse chez la fameuse mamie acariâtre, dont nous avons fait connaissance dans le tome précédent. Et ces vacances se révèlent surprenantes sur de nombreux points ! Entre l’apparition de Clément Fifrelin, un camarade d’école de la maman de Lou, la rencontre avec Paul ou encore, la carte décevante de Tristan, Lou ne s’ennuie pas. Mais ces grandes vacances sont aussi l’occasion pour Lou de fêter ses 13 ans et de réaliser que le monde de l’enfance est maintenant derrière elle.

Une fois encore, les dessins de Julien Neel sont adorables, remplis d’humour et de messages subliminaux. J’ai beaucoup ri devant certaines scènes, Lou et sa maman forment un duo incroyablement drôle et touchant. Julien Neel m’a emportée avec délice à Mortebouse, un coin paumé qui ne fait pourtant pas rêver ! Ce deuxième tome est une très belle réussite !

Lou ! Tome 3 : Le cimetière des autobus

Rien ne va plus pour Lou pour cette nouvelle année scolaire ! L’immeuble en face de chez elle, dans lequel vivait Tristan, est détruit, sa mère et Richard passent tout leur temps ensemble quitte à l’oublier et elle n’est pas dans la même classe que sa meilleure amie Mina ! Ces changements rendent Lou un peu moins joyeuse que dans les tomes précédents. Elle entre véritablement dans l’adolescence et connaît ses premières déceptions sentimentale et amicale. J’ai beaucoup aimé suivre les questionnements de la jeune fille, avancés avec délicatesse par Julien Neel.

Mais ce troisième tome voit aussi l’apparition de deux nouveaux personnages, Marie-Émilie et Karine, les nouvelles amies respectives de Lou et Mina. Ces deux ados sont très amusantes et apportent un peu de fraicheur dans les tourments de notre héroïne.

Un tome très chouette, un peu plus profond que les autres, qui aborde avec justesse le délicat passage de l’enfance à l’adolescence.

Lou ! Tome 4 : Idylles

C’est l’heure des grandes vacances et, pour la première fois de sa vie, Lou va en passer une partie loin de sa maman puisqu’elle part dans la maison de vacances de Marie-Émilie. Karine et Mina sont également de la partie. Ces vacances signent définitivement la fin de l’enfance pour nos quatre ados, qui se lancent dans la chasse aux garçons ! En parallèle, on suit la maman de Lou dans la tournée de promotion de son roman.

J’ai un peu moins accroché à ce tome : j’ai eu du mal à reconnaître Lou, qui a grandit un peu trop vite à mon goût. Par ailleurs, le personnage de Marie-Émilie m’a beaucoup agacée, je la trouve insupportable. Malgré ces points moins satisfaisants, j’ai tout de même passé un bon moment, les planches respirent l’été, ça m’a donné envie de partir en vacances !

Résumé

Mon avis

Résumé

La présidente de la République ayant décidé que tout élève doit accomplir une année de service civique entre sa troisième et sa seconde, Valentin a posé ses vœux. Malheureusement pour lui, ils n'ont pas été respectés et l'adolescent est envoyé dans un centre pour personnes âgées atteintes d'Alzheimer, situé dans le Pas-de-Calais, conçu pour ressembler à un village des années 1960.

Mon avis

Le nouveau roman de Clémentine Beauvais me tentait depuis sa sortie : j’étais curieuse de découvrir comment elle avait mis en place l’idée de reconstituer un village des années 60 pour les personnes ayant l’Alzheimer. Je ressors ravie de ma lecture, encore plus amoureuse de la chanson « Tous les garçons et les filles » de Françoise Hardy, que j’adorais déjà tant.

Depuis quelques années, les adolescents français sont obligés d’effectuer un service civique (Serci) de 10 mois avant leur entrée au lycée. Malheureusement, Valentin, un Albigeois de 15 ans, ne voit aucun de ses vœux respectés : il est envoyé dans l’unité Mnémosyne de Boulogne-sur-Mer afin de s’occuper des personnes âges atteintes d’Alzheimer. Mais cette unité est spéciale : on y a reconstitué les époques dans lesquelles les patients étaient jeunes. Valentin se retrouve dans le service des années 60/70, décennies dont il ne connaît absolument rien ! Mais sur un malentendu, il va se passionner pour Françoise Hardy et découvrir des missions et des personnes bien différentes de ce qu’il imaginait…

« Y a-t-il un rapport avec mon rapport ? Je pense que oui. Parce qu’il est question de souvenirs, et qu’en écoutant Sola me raconter les siens, j’ai compris beaucoup de choses. Par exemple : le pire dans la vie, ce n’est pas la disparition de quelqu’un, une relation qui se délite, un lieu qu’on quitte. Tout cela continue à exister, transmis de tête en tête et partagé autour d’un verre avec des rires, quand on s’en souvient en commun. Le pire, c’est quand il n’y a personne d’autre pour se rappeler tout ça, personne à part toi. »

Valentin est un personnage haut en couleurs ! Au-delà de ses nombreuses angoisses qui peuvent l’amener à se comporter étrangement, il est passionné par tout ce qu’il fait et c’est très touchant de le voir s’impliquer autant pour le bien-être des patients. J’ai adoré suivre son évolution durant ses 10 mois de Serci. Sa naïveté première disparaît quelque peu, mais il reste un garçon rêveur. Les personnages secondaires sont également attachants. On sent qu’ils forment tous ensemble une famille. Une drôle de famille certes, mais une famille quand même.

Étant une grande fan des chansons des années 60, autant vous dire que je me suis régalée avec ce livre ! C’est une véritable ode à la culture des sixties et c’est génial qu’elle soit ainsi mise en avant dans un livre jeunesse. Ce qui fait l’originalité de ce roman est aussi et surtout sa forme : en effet, on découvre l’histoire à travers le rapport de Serci que fait Valentin. Si au départ, Valentin écrit dedans comme dans un rapport traditionnel, cela devient vite plus personnel, comme un journal intime. Au début, j’ai eu du mal avec cette façon de raconter l’histoire. J’avais du mal à plonger réellement dans l’intrigue et à ressentir des choses pour les personnages. Heureusement, la magie a fini par opérer. Toutefois, j’ai trouvé certains passages un peu trop longs à certains moments. Et d’autres, balayés un peu rapidement.

Au-delà de ce léger déséquilibre dans l’intensité des passages et de la narration à laquelle je n’ai pas adhéré immédiatement, j’ai passé un super moment avec Age tendre. Clémentine Beauvais a produit de nouveau un ouvrage original, touchant, que l’on n’est pas prêts à oublier !

Résumé

Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au cœur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit tout et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.

Mon avis

Cela fait maintenant deux ans que je découvre petit à petit les romans de Michel Bussi. Cette fois-ci, j’ai lu l’un de ses polars les plus connus, Nymphéas noirs.

Jérôme Morval est retrouvé assassiné à Giverny, le célèbre village où a vécu le peintre Claude Monet. C’est Laurenç Sérénac, fraîchement débarqué du Sud-Ouest et Sylvio Bernades, qui mènent l’enquête. Pourquoi Jérôme Morval avait-il une carte d’anniversaire d’enfant dans la poche de son manteau au moment du meurtre ? Qui est cette vieille femme qui traîne dans le village ? Pourquoi l’institutrice est-elle aussi séduisante avec Laurenç ? De nombreuses questions qui nous mèneront au coupable…

On retrouve différentes narrations tout au long du roman : celles-ci nous permettent de faire connaissance en profondeur avec différents personnages. Ainsi, même si je ne me suis pas attachée aux eux, j’ai trouvé qu’ils étaient particulièrement bien construits, avec une certaine complexité qui nous pousse à nous questionner sur qui ils sont vraiment. Les trois femmes de l’histoire, Fanette, Stéphanie et la vieille dame du moulin, sont particulièrement intéressantes à découvrir. J’ai rapidement compris que quelque chose les liait, sans réussir à trouver quoi précisément.

« Une vie, tu sais, Fanette, c’est juste deux ou trois occasions à ne pas laisser passer. Ça se joue à ça, ma jolie, une vie ! Rien de plus. »

L’intrigue est menée d’une main de maître : on va de supposition en supposition, sans pour autant deviner la fin. J’ai été extrêmement surprise par le dénouement de l’histoire, que je n’avais pas imaginé une seule seconde. Michel Bussi mène clairement ses lecteurs en bateau et c’est fait avec brio. Toutefois, la résolution finale m’a un peu laissée sur ma faim, j’aurais aimé un peu plus d’explications je pense.

Le cadre de l’histoire, à Giverny, est extrêmement plaisant. Ça m’a donné encore plus envie de découvrir le village, ainsi que la célèbre maison de Monet. Par ailleurs, le sujet de l’art, présent du début à la fin, m’a beaucoup plu également. J’ai appris de nombreuses choses sur Monet et l’impressionnisme en général et j’adore apprendre des choses grâce à mes lectures.

Nymphéas noirs est donc un polar qui m’a tenue en haleine grâce à une histoire originale, des personnages intéressants et un cadre passionnant. Encore une jolie réussite dans ma découverte des œuvres de Bussi.

Résumé

Hannah Swensen est de retour dans sa ville natale d’Eden Lake. Entre sa mère, plutôt envahissante, et l’ouverture de sa boutique, le Cookie Jar, elle a fort à faire. Son quotidien devient plus passionnant encore quand son livreur, Ron LaSalle, est retrouvé assassiné juste derrière son magasin. Le beau-frère d’Hannah, shérif adjoint du comté, fait appel à elle pour l’aider à trouver le coupable. Un nombre surprenant de suspects et de mobiles émergent alors. Très vite Hannah va réaliser qu’elle n’est pas seulement douée pour les cookies, mais qu’elle est aussi une enquêtrice hors pair.

Mon avis

Je remercie Babelio et les éditions du Cherche Midi pour l’envoi de ce roman dans le cadre d’une masse critique privilégiée.

C’est avec la saga Agatha Raisin que j’ai découvert les cozy mystery. Ayant apprécié les trois premiers tomes, j’étais ravie de recevoir Meurtres et pépites de chocolat, qui semblait dans la même veine. Je me suis beaucoup amusée avec ce roman et son héroïne drôlement attachante.

Hannah Swensen tient une boutique de cookies dans la paisible ville de Lake Eden, dans le Minnesota. À bientôt 30 ans, elle est toujours célibataire : un vrai drame pour sa mère, qui tente de la caser à tout prix ! Mais Hannah n’a que faire des manigances de sa mère et est très heureuse de sa vie à la « Cookie Jar » et avec son chat Moshe. Cependant, son quotidien prend un nouveau tournant lorsque deux meurtres sont commis coup sur coup dans la ville : Bill, son beau-frère, lui demande de l’aider à mener l’enquête.

Hannah est un personnage au fort caractère, que j’ai apprécié dès les premières pages. Elle est fraîche, amusante mais également très sympathique avec les autres. On comprend vite que tout le monde l’aime à Lake Eden et on est obligé de l’aimer aussi tant elle respire la gentillesse. Les personnages secondaires m’ont aussi plu car ils ont chacun leur propre personnalité.

« Moshe la suivit dans la cuisine et la regarda se servir un verre de vin blanc, un pseudo-chablis qu’elle achetait en cubi de cinq litres et qu’elle conservait dans le bas de son frigo. C’était de la piquette mais ça coûtait moins cher que les somnifères. »

Au niveau de l’intrigue, je l’ai trouvée un peu longue à se mettre en place. Mais une fois que Hannah était lancée dans l’enquête, impossible de poser le roman tant c’est prenant. On va de rebondissement en rebondissement, sans jamais se douter une seule fois de l’identité du coupable. Par ailleurs, l’un des gros points forts de ce roman est l’aspect pâtisserie : les nombreuses gourmandises préparées par Hannah me faisaient très envie ! L’autrice a glissé plusieurs recettes par-ci, par-là. Une chose est sûre, je vais en tester plusieurs ! 

Meurtres et pépites de chocolat est donc une excellente lecture, légère et addictive, idéale en ces temps un peu morose ! C’est le premier tome d’une longue saga et je découvrirai avec plaisir le deuxième.

Résumé

Kasienka vient d’arriver en Angleterre avec sa mère. Elle qui n’a jamais connu que la Pologne fait sa rentrée dans un pays qui n’est pas le sien, avec des gens qu’elle ne connaît pas, dans une langue qu’elle maîtrise mal. Et le soir venu, de quartier en quartier, elle cherche son père, qui a quitté le domicile familial sans laisser d’adresse. Bref, ce pays est gris, humide, et parfois assez inhospitalier. Heureusement, il y a la piscine, il y a l’eau. Et dans l’équipe de natation, il y a William…

Mon avis

Après avoir apprécié Moon Brothers sans pour autant avoir été transportée, j’avais envie de retenter l’expérience Sarah Crossan. C’est vers Swimming pool que je me suis tournée. Je suis ravie de ce choix car j’ai passé un chouette moment avec ce roman.

Dans Swimming pool, nous découvrons le quotidien de Kasienka, une jeune polonaise de 12 ans (bientôt 13, comme elle aime le répéter), immigrée en Angleterre. Si elle a quitté son pays d’origine, c’est parce que sa mère veut absolument retrouver son mari, Tato, qui les a abandonnées. Sans surprise, l’intégration de Kasienka dans son nouveau pays est compliquée : des camarades la harcèlent au collège et sa mère est obsédée par la recherche de son mari et ne s’occupe pas d’elle. La seule échappatoire de la jeune fille est la piscine, notamment lorsque William, un garçon de 4^ème, y est également… 

« Quand il sourit c’est comme si devant moi

Une torche s’enflammait,

Éclairant le monde, même ses plus noirs recoins,

Et je ne peux simplement pas concevoir

Que tout le monde ne soit pas amoureux de lui. »

Kasienka est une adolescente tellement touchante que dès les premières pages, je me suis attachée à elle et j’avais envie de l’aider. Elle m’a semblée très humaine et accessible pour un personnage de fiction. Elle essaye de garder la tête haute face aux attaques de l’horrible Clair, même si parfois, elle s’oblige à garder le silence pour ne pas que la situation empire. J’ai eu du mal à comprendre sa maman et ça m’a fait de la peine de voir qu’elle ne s’intéresse pas à sa fille, alors que c’est elle qui a obligé Kasienka à quitter la Pologne.

Les thématiques du roman ne sont pas évidentes, entre l’abandon, le harcèlement scolaire, l’immigration et la difficile intégration. Mais Sarah Crossan les fait vivre de façon délicate, avec beaucoup de justesse. Je pense que la forme du récit, en vers libres, a accentué cette perception. Je ne suis pas une grande fan de ce format, qu’il m’arrive de trouver dérangeant. Mais cette fois, j’ai l’impression qu’il a apporté un réel plus à l’histoire et m’a permis de l’apprécier pleinement. Toutefois, je trouve que la fin vient trop vite, j’aurais aimé plus d’explications. Par ailleurs, je m’attendais à ce que la piscine et la natation aient une plus grande place dans l’histoire, étant donné le titre. Mais ce n’est pas le cas, c’est un peu dommage car on sent qu’elles ont un rôle essentiel dans le bien-être de Kasienka.

Swimming pool est une jolie lecture, douce et prenante, malgré quelques petits défauts. Je découvrirai prochainement avec plaisir Inséparables, le premier roman de Sarah Crossan !

Bonjour à tous !

C’est l’heure de faire le bilan de mes lectures du mois de mars.

Les livres lus en mars

Mars a été un mois faste niveau lecture puisque j’ai lu… 10 romans et 3 BD ! Ça faisait très longtemps que je n’avais pas autant lu en un mois. Par ailleurs, j’ai découvert et redécouvert la plume de plusieurs auteurs.

1) Le mois a débuté avec Swimming pool de Sarah Crossan. J’ai beaucoup aimé ce roman, j’étais très contente de découvrir un nouveau livre de cette autrice après Moon Brothers. Ma chronique sera en ligne dans quelques jours.

2) J’ai continué à découvrir la bande-dessinée Lou ! de Julien Neel avec le tome 3, dans la veine des précédents. Lou est une adolescente très chouette !

3) Puis, j’ai lu Les gratitudes de Delphine de Vigan. C’est un roman qui m’a profondément touchée, qui aborde des sujets difficiles comme la perte d’autonomie et la mort. L’histoire est juste, délicate et belle. Delphine de Vigan est vraiment une autrice que j’adore.

4) C’est vers Age tendre de Clémentine Beauvais que je me suis ensuite tournée. Le roman est original sur de nombreux plans, je me suis beaucoup amusée avec ce roman, malgré quelques petits points qui m’ont un peu moins emballée.

5) En mars, j’ai découvert l’autrice Sally Rooney avec ses deux romans. J’ai d’abord lu Conversations entre amis. Malgré une histoire qui avait du potentiel, je n’ai pas accroché aux personnages et à l’intrigue.

6) J’ai enchaîné avec son autre roman, Normal people, que j’ai bien plus aimé ! L’histoire d’amour m’a touchée et les personnages sont réalistes, j’ai réussi à m’identifier à eux.

7) C’est à nouveau une nouvelle autrice que j’ai découvert : Aurélie Valognes. Je me suis tournée vers Né sous une bonne étoile pour découvrir sa plume. Je suis contente d’avoir sauté le pas car j’ai passé un excellent moment avec ce roman. J’ai hâte de vous en dire plus !

8) Ensuite, j’ai lu Nos âmes rebelles de Samantha Bailly, la suite de Nos âmes jumelles. Sans surprise, je me suis régalée avec ce deuxième tome. Lou et Sonia, les deux héroïnes, sont devenues comme des amies pour moi.

9) Après avoir adoré L’aube sera grandiose il y a un presque un an, j’étais curieuse de découvrir un autre ouvrage d’Anne-Laure Bondoux. Ainsi, je me suis plongée dans Tant que nous sommes vivants. J’ai passé un bon moment mais j’ai eu du mal à rentrer dans l’univers au départ.

10) Le syndrome du spaghetti de Marie Vareille fut ma lecture suivante. Cette lecture m’a beaucoup émue, je ne m’attendais pas à une telle histoire. Une très belle surprise !

11) Le dernier roman que j’ai lu a été Les roches rouges d’Oliver Adam. Il me faisait de l’œil depuis sa sortie de l’année dernière. L’histoire est bouleversante et fait beaucoup réfléchir.

12 & 13) J’ai terminé le mois de mars avec 2 BD. Sans surprise, c’était Lou !, les tomes 4 et 5. J’ai un peu moins apprécié ces deux tomes, je trouve que l’histoire perd un peu en crédibilité.

Les livres qui ont rejoint ma PAL